Le Secrétaire général Dr Diaby présente l'expérience de l'OMVS au sommet Eau et Climat
Le
Secrétaire général de l’OMVS, le Dr Mamadou II Diaby, a pris part au
Sommet international EAU et CLIMAT. C’était à Rome du 23-25 octobre
2017.
Son allocution a porté sur les enjeux et défis de la gestion du bassin du fleuve Sénégal, ainsi que les actions d’envergure menées par l’Omvs. Le Secrétaire général a évoqué en particulier la forte dépendance de la population a la ressource en eau : plus de 85% de la population du bassin (soit environ 7 millions d’habitants) vit a proximité d’un cours d’eau tributaire du fleuve. Entre autres actions entreprises il y a la réalisation d’infrastructures, qui aident à régulariser le débit du fleuve et à satisfaire plusieurs usages ; la mise en place d’un réseau de collecte de données et des outils d’aide a la décision ; un dispositif d’implication des acteurs.
Cependant la variabilité et les changements climatiques induit la baisse des précipitations et des débits, l'augmentation des inondations, la perte de la biodiversité fluviale. L’OMVS déploie des efforts pour une gestion scientifiques de ces changements climatiques, et a mené des études ayant abouti à un diagnostic et à l’élaboration d’un plan d’action stratégique. D’ailleurs la construction du barrage anti sel de Diama (qui permet l’agriculture et l’alimentation en eau potable des populations) ou du complexe hydroélectrique de Manantali sont des des actions de lutte contre les changements climatiques. La maitrise du fleuve Sénégal plus généralement est une stratégie pour relever ce défi qui menace de perturber tous les plans et stratégies de développement du bassin, a expliqué M. Diaby
Son allocution a porté sur les enjeux et défis de la gestion du bassin du fleuve Sénégal, ainsi que les actions d’envergure menées par l’Omvs. Le Secrétaire général a évoqué en particulier la forte dépendance de la population a la ressource en eau : plus de 85% de la population du bassin (soit environ 7 millions d’habitants) vit a proximité d’un cours d’eau tributaire du fleuve. Entre autres actions entreprises il y a la réalisation d’infrastructures, qui aident à régulariser le débit du fleuve et à satisfaire plusieurs usages ; la mise en place d’un réseau de collecte de données et des outils d’aide a la décision ; un dispositif d’implication des acteurs.
Cependant la variabilité et les changements climatiques induit la baisse des précipitations et des débits, l'augmentation des inondations, la perte de la biodiversité fluviale. L’OMVS déploie des efforts pour une gestion scientifiques de ces changements climatiques, et a mené des études ayant abouti à un diagnostic et à l’élaboration d’un plan d’action stratégique. D’ailleurs la construction du barrage anti sel de Diama (qui permet l’agriculture et l’alimentation en eau potable des populations) ou du complexe hydroélectrique de Manantali sont des des actions de lutte contre les changements climatiques. La maitrise du fleuve Sénégal plus généralement est une stratégie pour relever ce défi qui menace de perturber tous les plans et stratégies de développement du bassin, a expliqué M. Diaby
Source : http://www.portail-omvs.org/actualite/secretaire-general-dr-diaby-presente-lexperience-lomvs-au-sommet-eau-et-climat
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