La 21ème Conférence des Parties de la Convention Cadre des Nations sur les Changements Climatiques : Paris 2015… la voix de l’Afrique doit être obligatoirement entendue…
Les dirigeants africains vont se rendre à Paris au mois de décembre où ils doivent parler d’une seule et même voix. En sa qualité de président en exercice du comité d’orientation des chefs d’états et de gouvernements du Nepad et de la Cedeao, Son excellence le président Macky Sall, devrait porter la voix de l’intérêt du continent africain car PARIS 2015 sera certainement tendu mais l’Afrique doit défendre ses intérêts. Il faut impérativement que la voix de l’Afrique soit entendue car ses populations sont et seront les premières victimes du changement climatique. Les causes sont essentiellement d’origines humaines donc, c’est donc dans les activités humaines que l’essentiel des solutions sera recherché.
Selon le Groupe international sur l’évolution du climat (Giec), le changement climatique se rapporte à tout changement du climat dans le temps qu'il soit dû à la variabilité naturelle ou à l'activité humaine. Nous savons que l'atmosphère de la Terre laisse passer la lumière du soleil qui réchauffe la surface du globe. La chaleur qui s'élève de la surface est en partie absorbée par les gaz et la vapeur d’eau présente dans l'atmosphère, on appelle ce processus naturel «effet de serre». En l'absence de gaz à effet de serre (dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4) et oxyde nitreux (N2O) etc.), la plus grande partie de la chaleur pénétrant dans l'atmosphère terrestre serait directement réémise dans l'espace, et la température moyenne de la Terre serait de -18 °C au lieu de 15 °C. Avant l’ère industrielle, la quantité de ces gaz à effet de serre présents dans notre atmosphère est demeurée relativement constante et a permis à la Terre de conserver un climat relativement stable. La concentration de ces gaz a commencé à grimper avec l'avènement de l'industrialisation, la hausse de la demande en énergie fossile, la croissance démographique, l’intensification de l’agriculture etc. L’expérience qui a donc débuté avec l’industrialisation, consiste à maintenir l’augmentation dans la concentration atmosphérique de gaz à effet de serre en brûlant d’énorme quantité de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz qui génèrent d’importante quantité de CO2) et en poursuivant la déforestation (la forêt débarrasse l’atmosphère de CO2). L'accroissement des concentrations de gaz à effet de serre accentue l'effet de serre naturel et fait monter la température moyenne de la surface du globe. C’est dans ce sens que P. Sagna parle de changement climatique lorsqu’on observe des modifications importantes des éléments du climat qui deviennent contraignantes pour l’homme et ses activités, c'est-à-dire pour le développement. Certes que le changement climatique est à relativiser si on tient compte de l’échelle géologique, mais se conçoit bien à l’échelle humaine. Les causes sont essentiellement d’origines humaines ; c’est donc dans les activités humaines que l’essentiel des solutions sera recherché.
Les manifestations du cc sont nombreuses ; les plus manifestes étant l’élévation du niveau de la mer, les évènements extrêmes climatiques, la désertification, la réduction des mangroves et autres zones frayères, la perte des terres arables, la salinisation des terres, la disparition des ressources en eau et la perturbation des écosystèmes naturelles en général.
Ainsi, chers lecteurs et chères lectrices, c’est bientôt Paris 2015, je me pose les questions suivantes : Pourquoi les dirigeants des pays industrialisés n’assument pas leur responsabilité historique du dérèglement climatique mondial ? Est-ce que l’humanité va se ressaisir à Paris ? Pourquoi la voix de l’Afrique doit être impérativement entendue ?
En effet, le continent africain n’est responsable qu’environ à 3.8 à 4% des émissions totales de gaz à effet de serre dans le monde. Il y a bien, malgré tout, l'Afrique du Sud, treizième pollueur de la planète mais avec 4,3 millions de tonnes de CO2, selon les statistiques onusiennes de 2008, ce pays se situe encore à un niveau douze fois inférieur à celui des Etats-Unis (5,4 milliards de tonnes) et seize fois de moins que celui de la Chine (7 milliards de tonnes). Sous ce rapport, c’est les pays africains qui pâtissent le plus sévèrement des effets du changement climatique, tout en abritant le moins de pollueurs. La tradition ancestrale du pastoralisme se trouvera en danger du fait de la vulnérabilité du bétail aux chaleurs extrêmes, au manque d’eau et de nourriture ainsi qu’aux maladies. L’érosion des côtes constitue également une sérieuse menace pour les activités liées à la pêche, au tourisme et au commerce qui contribuent fortement au PIB du continent. Avec la montée du niveau des mers, des villes et villages du littoral pourraient être engloutis. Selon des estimations récentes, des pays tels que le Togo, le Ghana et le Mozambique pourraient perdre plus de 50 % du PIB de leurs régions côtières sans oublié le Madagascar, pays insulaire qui abrite 5% de la biodiversité mondiale. L’agriculture est le moyen de subsistance de 80 % de la population du continent ; une hausse de 1,5°à 2°C aurait des conséquences dramatiques avec une réduction des surfaces cultivables de céréales. Ces céréales (riz, mil, sorgho, mais) sont la base de notre alimentation. C’est pourquoi, les délégations doivent s’armer de plus d'expérience, de compétence et de ressource pour parvenir à dénouer l'écheveau technique et complexe des négociations onusiennes. Bien vrai qu’il n'est pas rare de voir une petite dizaine de membres représenter un pays africain, quand plus d'une centaine occupent les rangs des délégations américaine ou chinoise. Il est important de rappeler aussi que la majorité des pays africains souffrent énormément de manque de moyens et que les conférences sur le climat coûtent très chère (les rencontres avant le sommet, billets d’avions, les hôtels, le per diem etc.). Aujourd’hui, le défi environnemental et la lutte contre les changements climatiques nous imposent l’utilisation des énergies renouvelables. C’est l’heure des choix avec comme objectif d’assurer l’approvisionnement énergétique, de diminuer les émissions de gaz à effet de serre et de limiter notre dépendance vis-à-vis des énergies fossiles qui tuent naturellement près de sept (07) millions de personnes par an (3 fois plus que le tabac). Ainsi dans un pays comme le nôtre, ensoleillé toute l’année, un potentiel hydrique et géothermal énorme, il demeure inconcevable que les énergies renouvelables soient peu développées. Il est nécessaire également de prendre des mesures particulières en vue de la gestion rationnelle des ressources en eau et de la protection de certains écosystèmes fragiles tel que les mangroves et les Niayes. Si les tendances actuelles du réchauffement climatique se poursuivent, les performances de l’agriculture sénégalaise seront davantage affectées d’où la nécessité de solutions d’adaptations en technologie notamment la diffusion des techniques agroforestière, l’utilisation des variétés à cycle court et tolérantes à la salinité…
Fort de cela, les dirigeants africains vont se rendre à Paris, au mois de décembre, où ils doivent parler d’une seule et même voix. Ainsi le président en exercice de la Cedeao et du Nepad, son Excellence le président Macky Sall doit porter la voix de l’intérêt du continent, des générations futures, de notre sécurité alimentaire, en d’autres termes, œuvrer pour le développement durable afin d’éviter de répéter les erreurs des pays développés. L’Afrique doit imposer son développement par un transfert de technologie propre autrement dit s’engager, à long terme, sur la voie d’une croissance à faible émission de carbone, qui fait partie de l’action pour contribuer à l’effort mondial de réduction des gaz à effet de serre. En outre, nous saluons également la diplomatie française qui a pu pratiquement mobiliser tous les pays et nous félicitons M. Abdoulaye Bibi Baldé, ministre de l’Environnement et du Développement durable du Sénégal qui a abattu un travail d’une qualité exceptionnelle avant le sommet en organisant des rencontres avec le Conseil économique social et environnemental (Cese) , l’association des maires francophones, les ministres de l’Environnement de la Cedeao, la société civile et les particuliers afin de parler d’une seule et même voix : la Déclaration de Dakar et enfin nous rendons un vif hommage à tous les défenseurs de l’environnement.
En définitive, il est temps d’arrêter le laisser-faire dans l'émission de gaz à effet de serre, raison pour laquelle nous souhaitons des accords fondamentaux, efficaces, durables et bénéfiques. Oui, La cop 21 doit parvenir à un accord international sérieux et juridiquement contraignant qui limitera effectivement la hausse de la température moyenne à 2°C. Chers dirigeants du monde, l’avenir de cette planète est entre vos mains car vous avez le pouvoir de garantir le succès de cette cop 21. Chers dirigeants, je vous rappelle la citation du résident Jacques Chirac en 2002 lors du sommet de Johannesburg « notre maison (planète) brule et nous regardons ailleurs, nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas. On nous met en garde que le 21eme siècle ne devienne pas, pour la génération future, celui d’un crime de l’humanité contre la vie ».
Il est possible que la science trouve des solutions afin d’inverser l’accumulation des gaz à effets de serre dans notre atmosphère. C’est trop tôt pour le dire à mon avis, par contre, il est clair que nous devons agir maintenant. Le besoin de changement de comportement est criant. C’est pourquoi il convient de revoir nos habitudes de consommation et revenir à des comportements plus rationnels et économes pour mieux être en harmonie avec les exigences de la protection de l’environnement et du développement durable en :
• Utilisant les lampes à faibles consommation d’énergie comme les lampes fluorescentes compactes (CFL) ou les diodes électroluminescentes (LED) car les CFL et LED utilisent beaucoup moins d’énergie que les lampes à incandescence, donc elles réduisent nos émissions de gaz à effet de serre.
• Plantant chacun un arbre car les arbres absorbent le dioxyde de carbone de l’air et l’utilisent comme source d’énergie, et ensuite elles produisent l’oxygène que nous respirons, donc elles réduisent aussi nos émissions de gaz à effet de serre.
• Evitant le gaspillage de l’eau. Ne laissez pas couler l’eau du robinet au moment de vous brosser les dents ou de laver les légumes ou de l’ébullition car le changement climatique menace la sécurité de l’eau, et on utilise de l’énergie pour le pompage et la purification de l’eau.
• Utilisant le transport en commun ou marcher ou bien prendre le vélo si possible car les émissions provenant du transport constituent une des sources majeures de gaz à effet de serre.
• Renforçant l’éducation environnementale au sein des entreprises à travers la RSE, des collectivités locales et des établissements scolaires (écoles primaires, collèges, lycées, écoles coraniques, et les universités.
Selon le Groupe international sur l’évolution du climat (Giec), le changement climatique se rapporte à tout changement du climat dans le temps qu'il soit dû à la variabilité naturelle ou à l'activité humaine. Nous savons que l'atmosphère de la Terre laisse passer la lumière du soleil qui réchauffe la surface du globe. La chaleur qui s'élève de la surface est en partie absorbée par les gaz et la vapeur d’eau présente dans l'atmosphère, on appelle ce processus naturel «effet de serre». En l'absence de gaz à effet de serre (dioxyde de carbone (CO2), méthane (CH4) et oxyde nitreux (N2O) etc.), la plus grande partie de la chaleur pénétrant dans l'atmosphère terrestre serait directement réémise dans l'espace, et la température moyenne de la Terre serait de -18 °C au lieu de 15 °C. Avant l’ère industrielle, la quantité de ces gaz à effet de serre présents dans notre atmosphère est demeurée relativement constante et a permis à la Terre de conserver un climat relativement stable. La concentration de ces gaz a commencé à grimper avec l'avènement de l'industrialisation, la hausse de la demande en énergie fossile, la croissance démographique, l’intensification de l’agriculture etc. L’expérience qui a donc débuté avec l’industrialisation, consiste à maintenir l’augmentation dans la concentration atmosphérique de gaz à effet de serre en brûlant d’énorme quantité de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz qui génèrent d’importante quantité de CO2) et en poursuivant la déforestation (la forêt débarrasse l’atmosphère de CO2). L'accroissement des concentrations de gaz à effet de serre accentue l'effet de serre naturel et fait monter la température moyenne de la surface du globe. C’est dans ce sens que P. Sagna parle de changement climatique lorsqu’on observe des modifications importantes des éléments du climat qui deviennent contraignantes pour l’homme et ses activités, c'est-à-dire pour le développement. Certes que le changement climatique est à relativiser si on tient compte de l’échelle géologique, mais se conçoit bien à l’échelle humaine. Les causes sont essentiellement d’origines humaines ; c’est donc dans les activités humaines que l’essentiel des solutions sera recherché.
Les manifestations du cc sont nombreuses ; les plus manifestes étant l’élévation du niveau de la mer, les évènements extrêmes climatiques, la désertification, la réduction des mangroves et autres zones frayères, la perte des terres arables, la salinisation des terres, la disparition des ressources en eau et la perturbation des écosystèmes naturelles en général.
Ainsi, chers lecteurs et chères lectrices, c’est bientôt Paris 2015, je me pose les questions suivantes : Pourquoi les dirigeants des pays industrialisés n’assument pas leur responsabilité historique du dérèglement climatique mondial ? Est-ce que l’humanité va se ressaisir à Paris ? Pourquoi la voix de l’Afrique doit être impérativement entendue ?
En effet, le continent africain n’est responsable qu’environ à 3.8 à 4% des émissions totales de gaz à effet de serre dans le monde. Il y a bien, malgré tout, l'Afrique du Sud, treizième pollueur de la planète mais avec 4,3 millions de tonnes de CO2, selon les statistiques onusiennes de 2008, ce pays se situe encore à un niveau douze fois inférieur à celui des Etats-Unis (5,4 milliards de tonnes) et seize fois de moins que celui de la Chine (7 milliards de tonnes). Sous ce rapport, c’est les pays africains qui pâtissent le plus sévèrement des effets du changement climatique, tout en abritant le moins de pollueurs. La tradition ancestrale du pastoralisme se trouvera en danger du fait de la vulnérabilité du bétail aux chaleurs extrêmes, au manque d’eau et de nourriture ainsi qu’aux maladies. L’érosion des côtes constitue également une sérieuse menace pour les activités liées à la pêche, au tourisme et au commerce qui contribuent fortement au PIB du continent. Avec la montée du niveau des mers, des villes et villages du littoral pourraient être engloutis. Selon des estimations récentes, des pays tels que le Togo, le Ghana et le Mozambique pourraient perdre plus de 50 % du PIB de leurs régions côtières sans oublié le Madagascar, pays insulaire qui abrite 5% de la biodiversité mondiale. L’agriculture est le moyen de subsistance de 80 % de la population du continent ; une hausse de 1,5°à 2°C aurait des conséquences dramatiques avec une réduction des surfaces cultivables de céréales. Ces céréales (riz, mil, sorgho, mais) sont la base de notre alimentation. C’est pourquoi, les délégations doivent s’armer de plus d'expérience, de compétence et de ressource pour parvenir à dénouer l'écheveau technique et complexe des négociations onusiennes. Bien vrai qu’il n'est pas rare de voir une petite dizaine de membres représenter un pays africain, quand plus d'une centaine occupent les rangs des délégations américaine ou chinoise. Il est important de rappeler aussi que la majorité des pays africains souffrent énormément de manque de moyens et que les conférences sur le climat coûtent très chère (les rencontres avant le sommet, billets d’avions, les hôtels, le per diem etc.). Aujourd’hui, le défi environnemental et la lutte contre les changements climatiques nous imposent l’utilisation des énergies renouvelables. C’est l’heure des choix avec comme objectif d’assurer l’approvisionnement énergétique, de diminuer les émissions de gaz à effet de serre et de limiter notre dépendance vis-à-vis des énergies fossiles qui tuent naturellement près de sept (07) millions de personnes par an (3 fois plus que le tabac). Ainsi dans un pays comme le nôtre, ensoleillé toute l’année, un potentiel hydrique et géothermal énorme, il demeure inconcevable que les énergies renouvelables soient peu développées. Il est nécessaire également de prendre des mesures particulières en vue de la gestion rationnelle des ressources en eau et de la protection de certains écosystèmes fragiles tel que les mangroves et les Niayes. Si les tendances actuelles du réchauffement climatique se poursuivent, les performances de l’agriculture sénégalaise seront davantage affectées d’où la nécessité de solutions d’adaptations en technologie notamment la diffusion des techniques agroforestière, l’utilisation des variétés à cycle court et tolérantes à la salinité…
Fort de cela, les dirigeants africains vont se rendre à Paris, au mois de décembre, où ils doivent parler d’une seule et même voix. Ainsi le président en exercice de la Cedeao et du Nepad, son Excellence le président Macky Sall doit porter la voix de l’intérêt du continent, des générations futures, de notre sécurité alimentaire, en d’autres termes, œuvrer pour le développement durable afin d’éviter de répéter les erreurs des pays développés. L’Afrique doit imposer son développement par un transfert de technologie propre autrement dit s’engager, à long terme, sur la voie d’une croissance à faible émission de carbone, qui fait partie de l’action pour contribuer à l’effort mondial de réduction des gaz à effet de serre. En outre, nous saluons également la diplomatie française qui a pu pratiquement mobiliser tous les pays et nous félicitons M. Abdoulaye Bibi Baldé, ministre de l’Environnement et du Développement durable du Sénégal qui a abattu un travail d’une qualité exceptionnelle avant le sommet en organisant des rencontres avec le Conseil économique social et environnemental (Cese) , l’association des maires francophones, les ministres de l’Environnement de la Cedeao, la société civile et les particuliers afin de parler d’une seule et même voix : la Déclaration de Dakar et enfin nous rendons un vif hommage à tous les défenseurs de l’environnement.
En définitive, il est temps d’arrêter le laisser-faire dans l'émission de gaz à effet de serre, raison pour laquelle nous souhaitons des accords fondamentaux, efficaces, durables et bénéfiques. Oui, La cop 21 doit parvenir à un accord international sérieux et juridiquement contraignant qui limitera effectivement la hausse de la température moyenne à 2°C. Chers dirigeants du monde, l’avenir de cette planète est entre vos mains car vous avez le pouvoir de garantir le succès de cette cop 21. Chers dirigeants, je vous rappelle la citation du résident Jacques Chirac en 2002 lors du sommet de Johannesburg « notre maison (planète) brule et nous regardons ailleurs, nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas. On nous met en garde que le 21eme siècle ne devienne pas, pour la génération future, celui d’un crime de l’humanité contre la vie ».
Il est possible que la science trouve des solutions afin d’inverser l’accumulation des gaz à effets de serre dans notre atmosphère. C’est trop tôt pour le dire à mon avis, par contre, il est clair que nous devons agir maintenant. Le besoin de changement de comportement est criant. C’est pourquoi il convient de revoir nos habitudes de consommation et revenir à des comportements plus rationnels et économes pour mieux être en harmonie avec les exigences de la protection de l’environnement et du développement durable en :
• Utilisant les lampes à faibles consommation d’énergie comme les lampes fluorescentes compactes (CFL) ou les diodes électroluminescentes (LED) car les CFL et LED utilisent beaucoup moins d’énergie que les lampes à incandescence, donc elles réduisent nos émissions de gaz à effet de serre.
• Plantant chacun un arbre car les arbres absorbent le dioxyde de carbone de l’air et l’utilisent comme source d’énergie, et ensuite elles produisent l’oxygène que nous respirons, donc elles réduisent aussi nos émissions de gaz à effet de serre.
• Evitant le gaspillage de l’eau. Ne laissez pas couler l’eau du robinet au moment de vous brosser les dents ou de laver les légumes ou de l’ébullition car le changement climatique menace la sécurité de l’eau, et on utilise de l’énergie pour le pompage et la purification de l’eau.
• Utilisant le transport en commun ou marcher ou bien prendre le vélo si possible car les émissions provenant du transport constituent une des sources majeures de gaz à effet de serre.
• Renforçant l’éducation environnementale au sein des entreprises à travers la RSE, des collectivités locales et des établissements scolaires (écoles primaires, collèges, lycées, écoles coraniques, et les universités.
Par Cheikh Ahmeth Tidiane SEYE *
* Agro-pédologue environnementaliste
Jeune chercheur dans la riziculture en milieu salé dans la région de Thiès et Fatick à l’ISE dans le contexte des changements climatiques
Email : Cheikhseye88@yahoo.fr
Jeune chercheur dans la riziculture en milieu salé dans la région de Thiès et Fatick à l’ISE dans le contexte des changements climatiques
Email : Cheikhseye88@yahoo.fr
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